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Suite (et fin) de l’opération filets fantômes
Suite de l’opération filets fantômes de WWF France avec son voilier Blue Panda : * reprise de la mission après arrêt Libecciu * Le voilier finit officiellement sa mission aujourd’hui au large de la pointe du cap corse
Après rdv avec l’équipage à Macinaggio, il m’a été confirmé que de nombreux filets ont été repérés grâce au sonar du voilier . * le but est d’en localiser le maximum avec précision * puis d’en sélectionner un , via une caméra sous marine, pour constater son état (s’il est pas coincé ou trop abîmé , ou colonisé (et peu mortifère), de le remonter, le rapporter à terre pour en faire l’analyse et surtout le jeter !
* la 3 ième étape consistera à transmettre cet état des lieux aux autorités ( PNMCCA , OEC , OFB etc ) pour la phase d’enlèvement Espérons que nos officiels CORSES relèveront le défi ???? et quand ???


Macinaggio


A noter à MACINAGGIO cet étrange phénomène de débordement du niveau de la mer sur les quais !!!
* Dernière nouvelle de CE MATIN : Blue Panda est bloqué à nouveau à Bastia et va quitter le Cap Corse pour la Croatie où le navire rejoindra l’’Aire Marine Protégée de Lastovo puis celle de Tagomago (Espagne, en novembre) pour une évaluation sur le “terrain” de l’état de santé de ces zones protégées,
* Une nouvelle campagne au Cap Corse est prévue l’année prochaine (?)
ALORS BONS VENTS
FILETS FANTOMES & BLUE PANDA
Pour la campagne méditerranéenne 2023 de WWF , son voilier BLUE PANDA était de passage au Cap Corseil y a quelques jours et a mouillé devant le petit port de Centuri d’où il a quadrillé la zone maritime au large de la côte .
Voici un petit résumé de notre trésorière Claudette Ganteaume ( merci) expliquant sa présence :
Sa mission : plaidoyer pour des zones de protection forte en Méditerranée dans le but de restaurer la biodiversité marine et favoriser les stocks de poisson. Il était ces jours ci au large de Centuri ( 13 et 14 octobre) : l’ équipage est allé à la rencontre des pêcheurs de Centuri pour aborder notamment la problématique des filets de pêche fantômes; une deuxième mission est prévue dans un an pour essayer de retirer ces filets.

https://www.wwf.fr/sengager-ensemble/blue-panda-bateau-mediterranee
FILETS FANTÔMES : engins de morts oubliés , perdus , décrochés , cassés etc….. et de pollution :
Mettre un terme au fléau des engins de pêche fantômes
Tels des rideaux de morts, les filets abandonnés ou perdus pendent au beau milieu des zones de nourrissage. Les mammifères marins s’emmêlent dedans puis se noient en quelques minutes à peine. Ces engins de pêche sont également une source de pollution plastique. En octobre, le Blue Panda mènera une seconde phase d’expérimentation avec un équipement (sonar) permettant de repérer et cartographier la présence de filets, une étape indispensable pour alerter et mobiliser sur la nécessité de les retirer. Cette année, nous vérifierons l’état des filets qui ont été identifiés pour préparer la prochaine étape : leur retrait.(WWF)
Nous espérons des résultats positifs et remercions WWF pour ses actions .
Nouveau site PMCC :
Et nos futurs tortillons de PIETRACORBARA ?
Ça devient sérieux : elles seraient sur le point d’éclore ….
Tartaruga et ses 82 membres (avec le soutien de PMCC), plus tous les organismes officiels, sont sur le qui-vive …,qui porte bien son nom .

et il y a du nouveau :
* La veille est organisée de jour comme de nuit et les tours de garde la nuit se font MAINTENANT éveillés par roulement toutes les 2/3 heures
* De plus une large allée a été créée jusqu’à la mer
* Même des sondes de température ont été installées !!!
* Des caméras infrarouges ..veillent aussi
sans oublier nos journalistes de Corse matin !! ( cf en ps un article ) ….à l’affût.
Donc nous restons dans l’attente et l’espoir ….

PS / article de Corse matin : https://www.corsematin.com/article/environnement/62497600267994/tortue-caouanne-a-pietracorbara-les-gardiens-du-nid-veillent-nuit-et-jour
AH CES FEMMES
La femme, maître du monde!
Dans le monde des vers marins existe un bien curieux animal visible en corse : la bonellie (Bonellia viridis).
Cet animal qui est une espèce de vers à 2 trompes, se rencontre dans les récifs du littoral méditerranéen . Il est de la taille d’une prune, vivant caché dans une fente de rocher et laissant traîner sa trompe fourchue ( forme d’algues noires très fines à 2 extrémités qui se rétractent instantanément dés qu’on les touche ! spectaculaire) sur une longueur pouvant dépasser 1,5 mètres . C’est en fait une femelle. Mais où son mari est-il caché? Le plongeur peut chercher longtemps sans jamais ne trouver la réponse. Le mâle est un animal minuscule (un ou deux millimètres de long) qui vit totalement aux dépends de sa compagne. Son tube digestif a régressé, sa bouche a disparu, remplacée par un orifice génital et ses moyens de locomotion se sont atrophiés. Rien qu’un organe sexuel, finalement. Alors, quelle place la femelle trouve-t-elle pour loger ses partenaires sexuels ? (plusieurs dizaines de mâles par femelle) La meilleure : son utérus ! Inutile de laisser traîner les mâles n’importe où (des fois qu’ils leur prennent l’envie de finir au bistrot) et de les laisser s’occuper de n’importe quoi. Puisque les hommes sont tant portés sur le sexe, alors, autant qu’ils ne se consacrent qu’à cela.
Toute puissante, la femelle bonellie l’est certainement. Contrairement à d’autres espèces animales, les bonellies ne naissent ni mâle ni femelle. Ses larves sont sexuellement indéterminées. Elles nageront en pleine eau quelques temps avant de retomber sur le fond. Celles qui atterriront en un lieu ” inoccupé ” finiront par se trouver une anfractuosité de roche et évolueront pour devenir femelles. La larve qui viendra à se poser à proximité d’une femelle vivra un tout autre destin. Généralement ingérée par la femelle, elle subira une overdose hormonale qui guidera son évolution afin de devenir un mâle mûr en l’espace de quelques jours. Le reste de sa vie se bornera aux méditations existentielles d’un testicule au service de sa maîtresse.
Pour ceux et celles qui croient encore que du genre d’un individu découle une place sociale, la bonellie nous montre le contraire : c’est à partir de la place (à proximité ou non d’une femelle) que le genre se détermine. Par contre, ce ver met en avant de façon extrême qu’une fois le sexe déterminé, le rôle social qui en découle est strictement encadré et qu’il n’est aucun moyen d’émancipation. Le mâle ayant perdu tout moyen biologique de survivre sans la femelle, ce dernier ne peut espérer une autre condition que celle d’organe reproducteur. Mais souhaite-t-il qu’il en soit autrement, finalement ?
Concevoir un individu réduit au rôle d’organe sexuel pour le compte d’un autre individu ? La nature verse encore dans l’économique. Elle propose la version minimale de la sexualité où la femelle devient un androgyne artificiel par le biais d’une relation plus que fusionelle (symbiotique ?) avec le mâle. Quant à ce dernier, il tire profit de l’organisme de la femelle qui lui assure sa subsistance, en échange de quoi il se réduit à un simple organe lui offrant un service qu’aucun organe propre ne pourrait accomplir : se reproduire, en assurant une innovation génétique.
D’autres espèces marines montrent des processus similaires. La crépidule (mollusque gastéropode) naît indéterminée. Les larves nagent en pleine eau avant, soit de rejoindre une femelle qui, par la sécrétion d’une phéromone, va soit les attirer à elle, soit de tomber sur le fond et tenter de se fixer pour devenir une femelle. Les larves attirées par une femelle vont se fixer sur elle, devenir des mâles et former un empilement d’individus en fonction de leurs périodes d’arrivée. A la différence de la bonellie, les mâles vont grandir pour finir par devenir des femelles. La base de la pile sera toujours constituée de femelles (une ou plusieurs), au milieu se trouveront des individus intersexués en phase de transformation et, en haut, les mâles ! aie !
Certaines espèces de poissons des grands fonds comme le ceratide abyssal (Ceratias holboelli) pratiquent aussi la ” masculinité minimale “. Le mâle est enchâssé dans l’épiderme de la femelle par le biais d’un ” bec d’accrochage ” qui l’alimente directement. Cette caractéristique assez répandue des poissons abyssaux s’explique simplement par la faible densité de population qui règne dans les profondeurs. Si chaque individu devait attendre une rare rencontre avec un de ses congénères du sexe opposé pour espérer se reproduire, déjà peu peuplé, le royaume abyssal serait un vrai désert. La famille des Ceratiidès est sans doute la seule famille animale pouvant être qualifiée d’hermaphrodite ” secondaire “. En fait, chaque individu peut être vu comme un superorganisme résultant de la fusion d’un ou plusieurs mâles et d’une femelle. Il s’agirait là d’un androgyne, c’est-à-dire d’un individu formé par la réunion de deux individus distincts de sexe différent.
Il existe néanmoins des espèces d’animaux hermaphrodites dès leur naissance (c’est le cas de la plupart des transsexuels) mais conservant cette bissexualité active durant leur vie. Ceux qui vivent en Bourgogne et que l’on mange cuits au four avec une persillade après les avoir fait dégorger sont les plus connus. Mais l’hermaphrodisme synchrone ne se restreint pas à l’univers des escargots. Reste enfin le mérou et la girelle qui naissent femelle et meurent mâle ( mais pas tous seront élus .. ) …ce qu’on appelle l’hermaphrodisme protogyne …

Richesses de la Faune et de la Flore du cap Corse : La Dorade Coryphène (ou MAHI MAHI)
Merci à nos membres qui sillonnent le cap corse et font partager à PMCC systématiquement leurs rencontres sous-marines
Un nouvel arrivant en méditerranée : le MAHI MAHI ou dorade Coryphène . Vues 3 ou 4 jeunes daurades CORYPHÈNE ( on dit également le coryphène ou MAHI MAHI ) de 50 cm de long à 10 m du bord et 2 m de profondeur
Certaines ne semblent pas être farouches puisque vues à 2 reprises au creux de l’anse de l’îlot Capense à MOINS d’1m du plongeur !
Ce poisson , nouveau au Cap Corse, est un des plus rapides au monde (80 km/h ). La dorade coryphène nage fréquemment près de la surface .

Attention le dimorphisme sexuel est important entre mâles et femelles : grosse tête avec une bosse pour LES MÄLES et plus aplatie chez LES FEMELLES .
Mâles et femelles sont aussi bons …! parait-il . Mais interdits de pêche de loisir et de chasse sous-marine de Novembre à Juin .
Conseils de peche : https://www.peche.com/article/41199/la-daurade-coryphene-un-poisson-de-sport-qu-il-est-possible-de-pecher-en-france )
La femelle :

le mâle :

Depuis quelques années, ce poisson OSSEUX, provenant des eaux chaudes des océans Atlantique, Indien et Pacifique, est de plus en plus présent au Cap Corse !!!!!

Cette dorade pouvant atteindre 2.1 m et peser 45 kg, est très pêchée car sa chair est très prisée,
Certains de nos adhérents en ont pêché ( photo anonyme )
Un de nos membres ( non pêcheur ) a pu même observer, à 2 reprises, dans la même journée, jusqu’à 6 dorades réunies.
Lieu : Encore à la pointe du Cap : à quelques mètres du bord et 2 m de profondeur , vers la tour d’Agnellu et devant Barcaggio .
(merci Arnaud pour tes photos prises du bord !)


Pour les curieux =https://www.fishipedia.fr/fr/poissons/coryphaena-hippurusB )
NAVIGATION ET NAGE AUTOUR DES ILES
De nombreux adhérents m’ont posé des questions sur la règlementation de la navigation et la nage dans et autour de la RNICC (Réserve Naturelle des Iles du Cap corse ) depuis sa création ( Décret n° 2017-426 du 28/03/17 – JO n° 76 du 30 mars 2017)
Voici quelques explications :
a ) Absence des gardiens en zodiac autours de Capense depuis le mois d’août : Tous étaient mobilisés sur les îles beaucoup plus exposées …Giraglia et les Finochjarole
b ) La limite de nage , de circulation et de pêche de loisir ( pêche et chasse sous-marine ) n’est pas changée autour des îles et reste INTERDITE à MOINS 10 m ( sauf Tonnara )
Il est très difficile de les matérialiser, et les gardiens peuvent l’annoncer aux plaisanciers avec une petite marge supplémentaire. D’autant plus que cette zone est définie en ne prend pas en compte tous les rochers détachés des îles, mais seul le trait de côte tel que représenté au cadastre .
Ce trait est de plus délimité lors de la marée haute (coefficient 120). Pas facile pour ne pas dire IMPOSSIBLE de le définir réellement!!
c ) les bateaux n’ont pas le droit de circuler à plus de 5 nœuds ( à peu prés 10 km/h) dans toutes zones situées dans la limite des 300 m de toutes côtes . Il en est de même dans les ports. L’enjeu : éviter la création de vagues, risques pour les personnes descendant d’un bateau , ou le réparant en fond de cale etc …
Pas d’amendes pour les bateaux ayant mouillé leur ancre sur des posidonies , si leur yacht fait moins de 24 m !
Rappel de QUELQUES PRINCIPES .( Nous savons que les plaisanciers de PMCC les appliquent )* I
ll faut jeter l’ancre sur des zones claires : rocheuses ou sableuses .
Pour éviter le chalutage des ancres dans les posidonies ( arrachement ) nous vous conseillons fortement , pour remonter l’ancre, de ne pas se tirer dessus mais d’avancer au moteur jusqu’à l’aplomb approximatif où est située l’ancre .

Merci de le faire remarquer à d’autres si besoin
Bonne Navigation
après nos PINGOUINS Torda, les TORTUES du Cap Corse
Nous pensons que la majorité d’entre vous est déjà au courant de la formidable nouvelle au sujet de la ponte d’une tortue marine sur une plage du Cap Corse à Pietracorbara le 8 Août 2023 … eh oui ! cette tortue de l’espèce caouanne (nom scientifique: Caretta carettta ) est revenue sur sa plage (20 /40 ou 60 ans ? aprés sa naissance) pour y pondre …
Il se peut que d’autres soient venues, ou viennent, y pondre mais sans témoins …soyez attentifs !
Elles exploiteraient le champs magnétique terrestre pour retrouver leurs plages )

Suite à cette ponte (constatée par plusieurs personnes vers 23 h et vérifiée aussitôt par des spécialistes, l’association CARI venue d’Ajaccio , la police de l’environnement corse , PNMCCA etc .. ) le nid a donc été entouré d’une palissade car tous les dangers existent en cette période d’Août : enfants , piquets parasols , collectionneurs , curieux , fanfarons , corbeaux , chiens errants ou pas , ect .
Restait donc à organiser la surveillance du site jusqu’à l’éclosion (si les œufs éclosent!) prévue vers la mi/fin Septembre ;
De jour la surveillance sera opérée par les personnes présentes en permanence à proximité, mais rien pour le soir , la nuit et le matin
Aussi dés le lendemain une membre de PMCC ( Maryline Moncelli) habitante de Pietracorbara décidait de dormir sur place .
Peu aprés le groupe PMCC sur Google, via Maryline, lançait le 11 août une demande de volontaires . Puis Maryline devant l’afflux d’amateurs, amatrices organisait d’elle-même un collectif appelé TARTARUGA pour assurer une présence nocturne quotidienne .
Bravo et merci encore à Maryline Moncelli qui y a passé déjà 4 nuits !
Votre serviteur décidait donc comme d’autres membres de PMCC de participer à un de ces gardiennages nocturnes .
Nous étions 3 : Hien , Maryline , et Jean-François

Seule Intervention: 2 personnes sont venues éclairer le site VERS 23 H …et nous ont aperçus … RAS
Malheureusement vent froid! Un orage éclata au milieu de la nuit et, dans les rires et la bonne humeur, nous fûmes obligés pour certains de se replier dans les voitures très proches jusqu’à l’accalmie avec un matin radieux … ou de partir
Vous serez bien sûr tenus au courant de la suite que nous espérons prolifique .. et nous envions les heureux élus chanceux !!!! qui assisteront ce jour là (ou plutôt cette nuit là) à la course folle de nos petites tortues vers la mer …Nous espérons de nombreuses vidéos
mais Danger car de jour : attention aux corbeaux nombreux sur ce site….une fois dans l’eau …bonne chance !!!
Conférence
Une conférence a eu lieu le 2 Septembre de 17 h à 19 h à la confrérie de Pietracorbara à laquelle PMCC s’associe et nous y avons assisté.
Cette réunion ( à l’initiation de TARTARUGA ) est gratuite et a été animée par le zoologiste que nous connaissons bien au Cap Corse Michel Delaugerre ( ancien du conservatoire du littoral ) et par Nicolas Tomasini du Parc Naturel Maritime du Cap Corse .
Pour plus de renseignements, l’article corse matin :
SAUVETAGE EN MER
Pour ceux qui n’ont pas pu assister au sauvetage d’un plaisancier que nous qualifierons d’imprudent
Un jour de tempête de juillet , voici le petit résumé du sauvetage d’un homme resté, malgré les éléments déchaînés, à bord d’un petit voilier sur un mouillage très dangereux .
a ) le 24 juillet après-midi : Mouillage du petit voilier ( 6/7 m) à 200 m devant la jetée du petit port de Centuri , peut-être suite à une panne ? Malgré le vent qui se lève, ce plaisancier reste à bord la nuit et surtout ne lance aucune alarme , fusée , signes . et on le voit stoïque , sans gilet de sauvetage ?
b ) le 25 au matin le vent forcit : toujours aucune réaction

Pour ceux qui n’ont pas pu assister au sauvetage d’un plaisancier que nous qualifierons d’imprudent
Un jour de tempête de juillet , voici le petit résumé du sauvetage d’un homme resté, malgré les éléments déchaînés, à bord d’un petit voilier sur un mouillage très dangereux .
a ) le 24 juillet après-midi : Mouillage du petit voilier ( 6/7 m) à 200 m devant la jetée du petit port de Centuri , peut-être suite à une panne ? Malgré le vent qui se lève, ce plaisancier reste à bord la nuit et surtout ne lance aucune alarme , fusée , signes . et on le voit stoïque , sans gilet de sauvetage ?
b ) le 25 au matin le vent forcit : toujours aucune réaction
c ) l’après midi vers 14 h la tempête fait rage et le plaisancier semble toujours calme.pour quelle raison ?
d ) PMCC (votre serviteur) prévient le Cross Med à 15 h 17 car la situation n’est absolument pas normale
e ) l’hélicoptère de l’armée arrive par l’arrière vers 16h30 h et repère le bateau : bcp de monde sur le jetée

Puis descente de 2 plongeurs pour effectuer le sauvetage
f ) 16h 58 : helitreuillage skipper
g ) le bateau resté seul passera une très mauvaise nuit. Mais tout finit bien et surtout on a évité une pollution grâce à une ancre miraculeusement bien bloquée !! encore mieux pas de blessé ou pire .

g ) le Cross Med a adressé à PMCC ses remerciements et merci aussi à San Teramu et au Cross Med
A bientôt
ps : pour ceux qui veulent visionner les 9 vidéos que nous avons prises nous vous les transmettons par WE TRANFER
Richesse de nos fonds : une mal aimée ..
Tous ceux qui ont eu la CHANCE de le croiser le reconnaîtront et les autres aussi bien sûr ! Ce poisson osseux ( cad entre autres qu’il peut aussi vivre en eau douce comme salée ) est repoussant !
* serpentiforme ,
* délit de ” sale gueule “,
* bouche ouverte comme pour mordre ( en fait il respire )
* il peut mordre si on l’attaque

Une de ses principales caractéristiques est que, pour mieux chasser , la murène dispose d’une caractéristique assez unique : des radiographies de murènes ont permis de révéler qu’elle possède en réalité une seconde mâchoire implantée au niveau du pharynx.ce qui lui permet d’entraîner sa proie au fond de sa gorge, ne lui laissant aucune chance de s’échapper.
UN SEUL PRÉDATEUR / L’HOMME ….et le requin ..sa chair est très appréciée
Il existe de par le monde 200 espèces de murènes et celle que l’on croise en méditerranée est la Muraena helena qui vit jusqu’à 15 ans et mesurer 1.2m (l’espèce la plus grande est la murène javanaise qui fait 3m!)
CEPENDANT ET SURTOUT elle peut être trés attachante . AIMONS LA ….
2 exemples
A ) En Méditerranée : A CENTURI de la même murène en 2021 2022 2023 !!!!
voir la vidéo jointe ( à agrandir svp en plein écran )
mon film 2 ( étonnant elle observe hors de l’eau !!! )
Ceux qui trouvent le type d’appât gagneront un test de spatangue …
B) et SURTOUT ci-joint une vidéo ( sous la mer 11111 ) magnifique , incroyable d’une murène non méditerranéenne , ( javanaise ? ) ..merci à un de nos membres ..
la charge de la vidéo peut durer 10 sec mais cela vaut la peine


A BIENTÔT
ps : désolé pour ceux qui ne peuvent pas ouvrir ?? j’enverrai ,sur demande, sur
WE TRANSFER