Et nos futurs tortillons de PIETRACORBARA ?

Ça devient sérieux : elles seraient  sur le point d’éclore ….

Tartaruga et ses 82 membres  (avec le soutien de PMCC), plus tous les organismes officiels, sont sur le qui-vive …,qui porte bien son nom .

et il y a du nouveau :

* La veille est organisée de jour comme de  nuit et les tours de garde la nuit se font MAINTENANT  éveillés par roulement toutes les 2/3 heures 

* De plus une large  allée a été créée jusqu’à la mer 

* Même des sondes de température ont été installées  !!!

* Des caméras infrarouges ..veillent  aussi

sans oublier  nos journalistes de Corse matin !! ( cf en ps un article ) ….à l’affût. 

Donc nous restons dans l’attente et l’espoir ….  


PS / article de Corse matin : https://www.corsematin.com/article/environnement/62497600267994/tortue-caouanne-a-pietracorbara-les-gardiens-du-nid-veillent-nuit-et-jour

AH CES FEMMES

La femme, maître du monde!

Dans le monde des vers marins existe un bien curieux animal visible en corse : la bonellie (Bonellia viridis).

Cet animal qui est une espèce de vers à 2 trompes, se rencontre dans les récifs du littoral méditerranéen . Il est de la taille d’une prune, vivant caché dans une fente de rocher et laissant traîner sa trompe fourchue ( forme d’algues noires très fines à 2 extrémités qui se rétractent instantanément dés qu’on les touche ! spectaculaire) sur une longueur pouvant dépasser 1,5 mètres . C’est en fait une femelle. Mais où son mari est-il caché? Le plongeur peut chercher longtemps sans jamais ne trouver la réponse. Le mâle est un animal minuscule (un ou deux millimètres de long) qui vit totalement aux dépends de sa compagne. Son tube digestif a régressé, sa bouche a disparu, remplacée par un orifice génital et ses moyens de locomotion se sont atrophiés. Rien qu’un organe sexuel, finalement. Alors, quelle place la femelle trouve-t-elle pour loger ses partenaires sexuels ? (plusieurs dizaines de mâles par femelle)  La meilleure : son utérus ! Inutile de laisser traîner les mâles n’importe où (des fois qu’ils leur prennent l’envie de finir au bistrot) et de les laisser s’occuper de n’importe quoi. Puisque les hommes sont tant portés sur le sexe, alors, autant qu’ils ne se consacrent qu’à cela.
Toute puissante, la femelle bonellie l’est certainement. Contrairement à d’autres espèces animales, les bonellies ne naissent ni mâle ni femelle. Ses larves sont sexuellement indéterminées. Elles nageront en pleine eau quelques temps avant de retomber sur le fond. Celles qui atterriront en un lieu ” inoccupé ” finiront par se trouver une anfractuosité de roche et évolueront pour devenir femelles. La larve qui viendra à se poser à proximité d’une femelle vivra un tout autre destin. Généralement ingérée par la femelle, elle subira une overdose hormonale qui guidera son évolution afin de devenir un mâle mûr en l’espace de quelques jours. Le reste de sa vie se bornera aux méditations existentielles d’un testicule au service de sa maîtresse.
Pour ceux et celles qui croient encore que du genre d’un individu découle une place sociale, la bonellie nous montre le contraire : c’est à partir de la place (à proximité ou non d’une femelle) que le genre se détermine. Par contre, ce ver met en avant de façon extrême qu’une fois le sexe déterminé, le rôle social qui en découle est strictement encadré et qu’il n’est aucun moyen d’émancipation. Le mâle ayant perdu tout moyen biologique de survivre sans la femelle, ce dernier ne peut espérer une autre condition que celle d’organe reproducteur. Mais souhaite-t-il qu’il en soit autrement, finalement ?
Concevoir un individu réduit au rôle d’organe sexuel pour le compte d’un autre individu ? La nature verse encore dans l’économique. Elle propose la version minimale de la sexualité où la femelle devient un androgyne artificiel par le biais d’une relation plus que fusionelle (symbiotique ?) avec le mâle. Quant à ce dernier, il tire profit de l’organisme de la femelle qui lui assure sa subsistance, en échange de quoi il se réduit à un simple organe lui offrant un service qu’aucun organe propre ne pourrait accomplir : se reproduire, en assurant une innovation génétique.
D’autres espèces marines montrent des processus similaires. La crépidule (mollusque gastéropode) naît indéterminée. Les larves nagent en pleine eau avant, soit de rejoindre une femelle qui, par la sécrétion d’une phéromone, va soit  les attirer à elle, soit de tomber sur le fond et tenter de se fixer pour devenir une femelle. Les larves attirées par une femelle vont se fixer sur elle, devenir des mâles et former un empilement d’individus en fonction de leurs périodes d’arrivée. A la différence de la bonellie, les mâles vont grandir pour finir par devenir des femelles. La base de la pile sera toujours constituée de femelles (une ou plusieurs), au milieu se trouveront des individus intersexués en phase de transformation et, en haut, les mâles ! aie !
Certaines espèces de poissons des grands fonds comme le ceratide abyssal (Ceratias holboelli) pratiquent aussi la ” masculinité minimale “. Le mâle est enchâssé dans l’épiderme de la femelle par le biais d’un ” bec d’accrochage ” qui l’alimente directement. Cette caractéristique assez répandue des poissons abyssaux s’explique simplement par la faible densité de population qui règne dans les profondeurs. Si chaque individu devait attendre une rare rencontre avec un de ses congénères du sexe opposé pour espérer se reproduire, déjà peu peuplé, le royaume abyssal serait un vrai désert. La famille des Ceratiidès est sans doute la seule famille animale pouvant être qualifiée d’hermaphrodite ” secondaire “. En fait, chaque individu peut être vu comme un superorganisme résultant de la fusion d’un ou plusieurs mâles et d’une femelle. Il s’agirait là d’un androgyne, c’est-à-dire d’un individu formé par la réunion de deux individus distincts de sexe différent.
Il existe néanmoins des espèces d’animaux hermaphrodites dès leur naissance (c’est le cas de la plupart des transsexuels) mais conservant cette bissexualité active durant leur vie. Ceux qui vivent en Bourgogne et que l’on mange cuits au four avec une persillade après les avoir fait dégorger sont les plus connus. Mais l’hermaphrodisme synchrone ne se restreint pas à l’univers des escargots. Reste enfin  le mérou et la girelle qui naissent  femelle et meurent mâle ( mais pas tous seront  élus .. )  …ce qu’on appelle l’hermaphrodisme protogyne …

https://www.facebook.com/watch/?v=1974242025943077

Richesses de la Faune et de la Flore du cap Corse : La Dorade Coryphène (ou MAHI MAHI)

Merci à nos membres qui sillonnent le cap corse et font partager  à PMCC systématiquement leurs rencontres sous-marines

Un nouvel arrivant en méditerranée : le MAHI MAHI  ou  dorade Coryphène . Vues  3 ou 4 jeunes daurades CORYPHÈNE  ( on dit également le coryphène ou MAHI MAHI ) de 50 cm de long à 10  m du bord et 2 m de profondeur

Certaines ne semblent pas être farouches puisque vues à 2 reprises au creux de l’anse de l’îlot Capense à  MOINS d’1m du plongeur ! 

Ce poisson , nouveau au Cap Corse, est un des plus  rapides au monde (80 km/h ). La dorade coryphène nage fréquemment près de la surface . 

Attention le dimorphisme sexuel est  important entre mâles et femelles : grosse  tête avec une bosse pour LES MÄLES et plus aplatie chez LES FEMELLES .

Mâles et femelles sont aussi bons …! parait-il . Mais interdits de pêche de loisir  et de chasse sous-marine  de Novembre à Juin .

Conseils de peche : https://www.peche.com/article/41199/la-daurade-coryphene-un-poisson-de-sport-qu-il-est-possible-de-pecher-en-france )

La femelle : 

le mâle :

Depuis quelques années, ce poisson  OSSEUX, provenant des eaux chaudes des océans Atlantique, Indien et Pacifique, est de plus en plus présent au Cap Corse !!!!! 

Cette dorade pouvant atteindre 2.1 m et peser 45 kg, est très pêchée car sa chair est très prisée,

Certains de nos adhérents en ont pêché ( photo anonyme )L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-2.png.

Un de nos membres ( non pêcheur )  a pu même observer, à 2 reprises, dans la même journée, jusqu’à 6  dorades réunies.   

 Lieu : Encore à la pointe du Cap : à quelques mètres du bord et 2 m de profondeur , vers la tour d’Agnellu et devant Barcaggio .

 (merci Arnaud pour tes photos prises du bord !) 

Pour les curieux =https://www.fishipedia.fr/fr/poissons/coryphaena-hippurusB )

NAVIGATION ET NAGE AUTOUR DES ILES

De nombreux adhérents m’ont posé des questions sur la règlementation de la navigation et la nage dans et autour de la RNICC (Réserve Naturelle des Iles du Cap corse ) depuis sa création (  Décret n° 2017-426 du 28/03/17 – JO n° 76 du 30 mars 2017)

Voici quelques explications : 

a ) Absence des gardiens en zodiac autours de Capense depuis le mois d’août  : Tous étaient mobilisés sur les îles beaucoup plus exposées …Giraglia et les Finochjarole

b ) La limite de nage , de circulation et de pêche de loisir ( pêche et chasse sous-marine ) n’est pas changée autour des îles et reste INTERDITE à MOINS 10 m ( sauf Tonnara ) 

Il est très difficile de les matérialiser, et les gardiens peuvent l’annoncer  aux plaisanciers avec une petite marge supplémentaire. D’autant plus que cette zone est définie en ne prend pas en compte tous  les rochers détachés des îles, mais seul le trait de côte tel que représenté au cadastre . 

 Ce trait est de plus délimité  lors de la marée haute (coefficient 120). Pas facile pour ne pas dire IMPOSSIBLE de le définir réellement!!

c ) les bateaux n’ont pas le droit de circuler à plus de 5 nœuds ( à peu prés 10 km/h) dans toutes zones situées dans la limite des 300 m de toutes côtes . Il en est de même dans les ports. L’enjeu : éviter la création de vagues, risques pour les personnes descendant d’un bateau , ou le réparant en fond de cale etc …    

Pas d’amendes pour les bateaux ayant mouillé leur ancre sur des posidonies , si leur yacht fait moins de 24 m !     

Rappel  de QUELQUES PRINCIPES  .( Nous savons que les plaisanciers de PMCC les appliquent )* I

ll faut  jeter l’ancre sur des zones claires : rocheuses ou sableuses .

Pour éviter le chalutage des ancres dans les posidonies ( arrachement ) nous vous conseillons fortement , pour remonter l’ancre, de ne pas se tirer dessus mais d’avancer au moteur jusqu’à l’aplomb  approximatif où est située l’ancre . 

Merci de le faire remarquer à d’autres si besoin 

Bonne Navigation 

après nos PINGOUINS Torda, les TORTUES du Cap Corse

Nous pensons que la majorité d’entre vous  est déjà au courant de la formidable nouvelle au sujet de la ponte d’une tortue marine sur une plage du Cap Corse à Pietracorbara le 8 Août 2023 … eh oui ! cette tortue de l’espèce caouanne (nom scientifique: Caretta carettta ) est revenue sur sa plage (20 /40 ou 60 ans ? aprés sa naissance) pour y pondre …

Il se peut que d’autres soient venues, ou viennent, y pondre mais sans témoins …soyez attentifs !

Elles exploiteraient le champs magnétique terrestre pour retrouver leurs plages )

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-10.png.

 Suite à cette ponte (constatée par plusieurs personnes vers 23 h  et vérifiée aussitôt par des spécialistes, l’association CARI  venue d’Ajaccio , la police de  l’environnement corse , PNMCCA etc .. ) le nid a donc été  entouré d’une palissade car tous les dangers existent en cette période d’Août   :   enfants , piquets parasols , collectionneurs , curieux  , fanfarons , corbeaux ,  chiens errants ou pas , ect  . 

Restait donc à organiser la surveillance du site jusqu’à l’éclosion (si les œufs éclosent!) prévue vers la mi/fin Septembre ; 

De jour la surveillance sera opérée  par les personnes présentes en permanence à proximité, mais rien pour le soir , la nuit et le matin 

Aussi dés le lendemain  une membre de PMCC ( Maryline Moncelli) habitante de Pietracorbara décidait de dormir sur place  .

Peu aprés le groupe PMCC sur Google, via Maryline, lançait le 11 août une demande de volontaires .  Puis Maryline  devant l’afflux d’amateurs, amatrices organisait d’elle-même un collectif appelé TARTARUGA pour assurer une présence nocturne quotidienne . 

Bravo et merci encore à Maryline Moncelli qui y a passé déjà 4 nuits ! 

Votre serviteur décidait donc comme d’autres membres de PMCC de participer à un de ces gardiennages nocturnes  . 

Nous étions 3  : Hien , Maryline , et Jean-François  

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Seule Intervention:  2 personnes sont venues éclairer le site  VERS 23 H …et nous ont aperçus … RAS

Malheureusement vent froid! Un orage éclata au milieu de la nuit et, dans les rires et la bonne humeur, nous fûmes obligés  pour certains de se  replier dans les voitures très proches  jusqu’à l’accalmie avec un matin radieux … ou de partir

Vous serez bien sûr tenus au courant de la suite  que nous espérons prolifique .. et nous envions les heureux élus chanceux !!!! qui assisteront ce jour là (ou plutôt cette nuit là) à  la course folle de nos petites tortues vers la mer …Nous espérons de nombreuses vidéos 

mais Danger car de jour : attention aux corbeaux nombreux sur ce site….une fois dans l’eau …bonne chance !!!

Conférence 

Une conférence a eu lieu le 2 Septembre de 17 h à 19 h à la confrérie de Pietracorbara à laquelle PMCC s’associe et nous y avons assisté. 

Cette réunion ( à l’initiation de TARTARUGA ) est gratuite et a été animée par le zoologiste que nous connaissons bien au  Cap Corse Michel Delaugerre ( ancien du conservatoire du littoral ) et par Nicolas Tomasini du Parc Naturel Maritime du Cap Corse .

Pour plus de renseignements, l’article corse matin  : 

https://www.corsematin.com/article/environnement/73519558684187/ponte-exceptionnelle-dune-tortue-marine-dans-le-cap-corse

SAUVETAGE EN MER

Pour ceux qui n’ont pas pu assister au sauvetage d’un plaisancier que nous qualifierons d’imprudent

Un jour de tempête de juillet , voici le petit résumé du sauvetage d’un homme resté, malgré les éléments déchaînés, à bord  d’un petit voilier  sur un  mouillage  très dangereux .

a ) le 24 juillet après-midi : Mouillage du petit voilier ( 6/7 m)  à 200 m devant la jetée du petit port de Centuri  , peut-être suite à une panne ? Malgré le vent  qui  se  lève, ce plaisancier reste  à bord la nuit et surtout ne lance aucune alarme ,  fusée , signes . et on le voit stoïque , sans gilet de sauvetage   ?

b ) le 25 au matin le vent forcit  : toujours aucune réaction 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-17.png.

Pour ceux qui n’ont pas pu assister au sauvetage d’un plaisancier que nous qualifierons d’imprudent

Un jour de tempête de juillet , voici le petit résumé du sauvetage d’un homme resté, malgré les éléments déchaînés, à bord  d’un petit voilier  sur un  mouillage  très dangereux .

a ) le 24 juillet après-midi : Mouillage du petit voilier ( 6/7 m)  à 200 m devant la jetée du petit port de Centuri  , peut-être suite à une panne ? Malgré le vent  qui  se  lève, ce plaisancier reste  à bord la nuit et surtout ne lance aucune alarme ,  fusée , signes . et on le voit stoïque , sans gilet de sauvetage   ?

b ) le 25 au matin le vent forcit  : toujours aucune réaction 

c ) l’après midi vers 14 h la tempête fait rage et le plaisancier semble toujours calme.pour quelle raison ?

d ) PMCC (votre serviteur) prévient le Cross Med à 15 h 17 car la situation n’est absolument pas normale

e ) l’hélicoptère de l’armée arrive par l’arrière  vers 16h30 h et repère le bateau : bcp de monde sur le jetée 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-23.png.

Puis descente de 2 plongeurs pour effectuer le sauvetage

f ) 16h 58 : helitreuillage skipper 

g ) le bateau resté seul passera une très mauvaise nuit. Mais tout finit bien et surtout on a évité une  pollution grâce à une ancre miraculeusement bien bloquée !! encore mieux pas de blessé ou pire .

g ) le Cross Med a adressé à PMCC ses remerciements   et merci aussi à San Teramu et au Cross Med

A bientôt 

ps : pour ceux qui veulent visionner les 9 vidéos que nous avons prises nous vous les transmettons par WE TRANFER 

Richesse de nos fonds : une mal aimée ..

Tous ceux qui ont eu  la CHANCE  de le croiser  le reconnaîtront et les  autres aussi bien sûr ! Ce poisson osseux ( cad entre autres qu’il peut aussi vivre en eau douce comme salée ) est repoussant !

 * serpentiforme , 

 * délit de ” sale gueule “, 

 * bouche ouverte comme pour mordre ( en fait il respire )

 * il peut mordre si on l’attaque  

Une de ses principales caractéristiques est que, pour mieux chasser , la murène dispose d’une caractéristique assez unique : des radiographies de murènes ont permis de révéler qu’elle possède en réalité une seconde mâchoire implantée au niveau du pharynx.ce qui lui permet d’entraîner sa proie  au fond de sa gorge, ne lui laissant aucune chance de s’échapper.

UN SEUL PRÉDATEUR / L’HOMME ….et le requin ..sa chair est très appréciée 

Il existe de par le monde 200 espèces de murènes et celle que l’on croise en méditerranée est la Muraena helena qui vit jusqu’à 15 ans et mesurer 1.2m (l’espèce la plus grande est la murène javanaise qui fait 3m!) 

CEPENDANT  ET SURTOUT elle  peut être trés attachante . AIMONS LA ….

2 exemples 

A ) En Méditerranée :  A CENTURI de  la même murène en 2021 2022 2023 !!!!

 voir la vidéo jointe ( à agrandir svp en plein écran )

mon film 2 ( étonnant elle observe hors de l’eau !!! )

Ceux qui trouvent le type d’appât gagneront un test de  spatangue … 

B) et SURTOUT ci-joint une  vidéo ( sous la mer 11111 ) magnifique ,  incroyable  d’une murène non méditerranéenne ,   ( javanaise ? )  ..merci à un de nos membres .. 

 la charge de la vidéo peut durer  10 sec  mais cela vaut la peine

A BIENTÔT 

ps : désolé pour ceux qui ne peuvent pas ouvrir ?? j’enverrai ,sur demande, sur  

WE TRANSFER 

PMCC – Une opération spéciale

Avant hier,  25 Juillet 2023, une équipe de 4 jeunes “issus” …de PMCC  s’est  “attaquée”  spontanément aux fonds marins d’une  anse au cap corse 

et le résultat est magnifique ( enfin … )

En effet  ces déchets auraient fini amoncelés sur nos côtes .  en micro plastiques ou plus grave  dans l’estomac de la faune du Cap Corse  

Les opérations nettoyage des fonds sont rares pour les petits déchets  (non colonisés) car il ne suffit pas de se baisser ! il faut savoir plonger profond  , avoir une bonne respiration , un bon œil et surtout l’envie de les enlever pour rendre  les eaux et les fonds du Cap Corse encore plus beaux , sains ……..et attractifs pour la pratique du snorkeling ( sport du futur … ! )

Bravo et encore  merci à  Alise Bukala , Benjamin Bourdet , Jérémie Bourdet et Aymeric Monteillier qui sont un bel exemple .. pour tous 

Merci aussi aux  familles et amis réunis avec  Bernard Fontan , membre du bureau de PMCC  .

PMCC info flash

 Suite à différentes opérations  ( plongées et nettoyages côtiers de la pointe d’ Alisu à la pointe Testa et surtout à Cala  d’Orso ),  un ramassage (réalisé par PMCC)  de déchets a eu lieu le  long du sentier des douaniers  avant-hier le 11 Juillet 2023 . 

Décidée au dernier moment pour des questions pratiques l’ Equipe était ( trés ) réduite  à 2 personnes mais trés motivées

MERCI A MARYLINE ( venue de Pietracorbara  ) ET A SA DISCRÉTION

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-46.png.

4 étapes 

    1) regroupement des sacs de 100 kg sur les rochers …

     2) transvasements périlleux ….à bord du bateau CapiCorsu II et de son annexe ..

     3) rapatriement au port 

     4) Merci à la mairie  pour l’enlèvement 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-47.png.

Tout était plein : 

3 sacs de 100 kg ( volume …) avec surtout des tous petits morceaux de plastiques ,  bouchons etc 

+ un poubelle pleine 

+ des filets 

+ des restes de kayak etc 

et bien sûr la fierté de PMCC !A la prochaine …il y en aura d’autres 

Pièces jointes :

PMCC -MYSTERE PARTHENOPE ,ON AVANCE .

Un mystère dans les fonds marins du Cap Corse peut-être enfin résolu ?

A ) Certains d’entre nous ne le savent peut-être pas, mais les restes d’une épave sont encore  visibles dans la baie de Centuri autour de l’îlot Capense . 

Pour combien de temps encore??? , ancres , plongeurs , tempêtes , collectionneurs , vieillissement : certaines bordées en cuivre se détachent !!!!!;;;.)

Deux  des membres de PMCC ( merci Christine  et François )  les avaient filmés :en 2017 et nous avions transmis la vidéo à la responsable corse   (Franca Cibechinni) de la DRASSM ( département de recherches archéologiques sub aquatiques et sous -marines ), chargée de la gestion du patrimoine maritime .

Ce bateau serait un charbonnier, la  Parthenope – 

ici belle Vidéo  de RESTES de l’épave

 B ) Or PMCC a participé dernièrement à la conférence de l’association Petre Scritte sur un   naufrage d’un Parthénope (?) expliquant les détails du naufrage  : chronique très intéressante de la vie d’il y a plus de 200 ans mais il ne reste aucune trace  de ce bateau .

dossier consultable : CRONICA N°15 

   Alors 2 Parhénope ?  

C ) Cela nous a permis d’avancer et de découvrir ainsi  une fiche technique ( jointe ) sur “notre”  épave filmée  (merci Claude ), prouvant ainsi qu’un autre navire avait coulé à cette époque  ( FICHE  TECHNIQUE JOINTE Le Charbonnier de l’impératrice )

Il EST DONC sûr que ces 2 naufrages sont distincts  

RESTE À ÉLUCIDER LE PROBLÈME DU NOM ….A SUIVRE

 ( sur demande on peut amener les Membres de PMCC “discrètement” sur les lieux de l’épave …protection oblige…)

A bientôt 

ps :  Nouvelle conférence

  le 27 Juillet sur les épaves mais surtout d’avions